(1960 )
(Emission TV : Cannes à gogo du 10.08.1960)
Si
le printemps durait toute l’année
Les
amoureux n’auraient plus à rêver
Ils
n’auraient plus à cueillir sans égard
Le
cœur d’un homme au hasard.
Je
t’ai vu, tu m’as plu, sans attendre,
Tu
m’as dit, Je t’aimerai toujours, je
t’ai cru,
J’ai voulu, des mots tendres,
A
ton cou je me suis bien pendue
Si
le printemps durait toute l’année
Les
amoureux n’auraient plus à rêver
Ils
n’auraient plus à cueillir sans égard
Le
cœur d’un autre au hasard
Si
je suis à tes yeux un peu bête
Ne
crois pas, que je crois tous tes mots
Je
me tais, connaissant tes conquêtes
Que
veux-tu, quand tu ris, tu es beau
Si
le printemps durait toute l’année
Les
amoureux n’auraient plus à rêver
Mais
je crois bien qu’au fond Je m’ennuierais
Si
c’était toi qui m’aimais
Si
le printemps durait toute l’année