(1978 - Nurit Hirsh / Ehud Manor / Pierre Delanoë)
'A-ba-ni-bi 'o-bo-e-bev
'A-ba-ni-bi 'o-bo-e-bev 'o-bo-ta-bakh
'A-ba-ni-bi 'o-bo-e-bev
'A-ba-ni-bi 'o-bo-e-bev 'o-bo-ta-bakh
'A-ba-ni-bi 'o-bo-e-bev
'O-bo-e-bev 'o-bo-ta-bakh
C'est le langage des enfants, pour ce mettre a l'abri des grands
C'est une langue bien à eux, tout comme un code mystérieux
Dans une vieille rue de Jérusalem, j'ai entendu un jour cette rengaine
Que dans le temps j'avais aussi chantée, avec les gosses du quartier
'A-ba-ni-bi 'o-bo-e-bev
'A-ba-ni-bi 'o-bo-e-bev 'o-bo-ta-bakh
'A-ba-ni-bi 'o-bo-e-bev
'A-ba-ni-bi 'o-bo-e-bev 'o-bo-ta-bakh
Ces mots-là chantent plein de joie, quand l'amour est là pour la vie
Ces mots-là sont pour toi et moi
La chanson du bonheur, l'alphabet de nos coeurs réunis
'A-ba-ni-bi 'o-bo-e-bev
'A-ba-ni-bi 'o-bo-e-bev 'o-bo-ta-bakh
'A-ba-ni-bi 'o-bo-e-bev
'A-ba-ni-bi 'o-bo-e-bev 'o-bo-ta-bakh
Et ne te moque plus jamais de moi
Quand tu m'entendras chanter cet air-là
Elle veut tout simplement te dire je t'aime
Cette chanson qui est la mienne
'A-ba-ni-bi 'o-bo-e-bev
'A-ba-ni-bi 'o-bo-e-bev 'o-bo-ta-bakh
'A-ba-ni-bi 'o-bo-e-bev
'A-ba-ni-bi 'o-bo-e-bev 'o-bo-ta-bakh
'A-ba-ni-bi 'o-bo-e-bev
'A-ba-ni-bi 'o-bo-e-bev 'o-bo-ta-bakh
'A-ba-ni-bi 'o-bo-e-bev
'A-ba-ni-bi 'o-bo-e-bev 'o-bo-ta-bakh
'A-ba-ni-bi 'o-bo-e-bev
'A-ba-ni-bi 'o-bo-e-bev 'o-bo-ta-bakh