(1976 - Jean Renard /
Michel Mallory)
A la
ville comme à la campagne
De
la Bretagne à la Normandie
Du
Nord à la frontière d’Espagne
Et
puis partout dans le pays
Il
y’ a toujours des polémiques
Sur
la politique ou le tiercé
Avec
l’amour il n’y a qu’une chose
Qui
passe à l’unanimité.
Le
beefsteak-frites qu’on mange à la maison
Y’a
pas à dire ça sent si bon la France
C’est
cocardier comme un accordéon
Le
beefsteak-frites qu’on mange à la maison.
C’est
pas Anglais comme le thé citron
C’est
bien d’chez nous comme une valse musette
C’est
National comme un bal aux lampions
Et
ça méritait bien une chanson.
Le
beefsteak-frites qu’on mange à la maison
Y’a
pas à dire ça sent si bon la France
C’est
cocardier comme un accordéon
Le
beefsteak-frites qu’on mange à la maison.
Il y
a des choses sacrées
Qu’en
France il ne faut jamais toucher
Le
football et puis la télé
Le
tricolore, l’égalité
Ils
ont pris la bastille un jour
Se
sont battus pour la liberté
Ils
aiment le vin et l’amour
Mais
ce qu’ils préfèrent je le sais.
Le
beefsteak-frites qu’on mange à la maison
Y’a
pas à dire ça sent si bon la France
C’est
cocardier comme un accordéon
Le
beefsteak-frites qu’on mange à la maison
C’est
pas Anglais comme le thé citron
C’est
bien d’chez nous comme une valse musette
C’est
National comme un bal aux lampions
Et
ça méritait bien une chanson
Le
beefsteak-frites qu’on mange à la maison
Y’a
pas à dire ça sent si bon la France
C’est
cocardier comme un accordéon
Le
beefsteak-frites qu’on mange à la maison
C’est
pas Anglais comme le thé citron
C’est
bien d’chez nous comme une valse musette
C’est
National comme un bal aux lampions
Et
ça méritait bien une chanson