
(1962 – Luc Romman / Yohanan Zaraï / Noshe Naim)
Hallelou, hallelou,
Halleluya, halleluya,
Halleluya, halleluya,
Halleluya, halleluya,
Halleluya, halleluya,
Hallelou, hallelou
Pour nos peines oubliées, quand nous revient le printemps
Nos espoirs retrouvés, dans des yeux d’enfants
Pour l’ivresse du moment où nous nous sentons heureux
L’éclat étincelant qui brûle nos yeux
Pour le rire revenu par l’effet d’une chanson
Nos rêves suspendus aux grands horizons
Pour le bonheur que chacun trouve à l’ombre de son toit
Le soleil qui revient apportant la joie
Hallelou, hallelou,
Halleluya, halleluya,
Halleluya, halleluya,
Halleluya, halleluya,
Halleluya, halleluya,
Hallelou, hallelou
Pour l’ennui qui n’est plus là lorsque l’été nous sourit
La lune que l’on voit au fond de la nuit
Pour la rosée du matin qui se pose sur les fleurs
L’être aimé que l’on tient tout contre son cœur
Pour les soleils enflammés qui brûlent des océans
Les tendres mélopées que chante le vent
Pour l’amour que l’on attend et pour l’amour qui nous vient
La lumière qui s’étend sur notre chemin
Hallelou, hallelou,
Halleluya, halleluya,
Halleluya, halleluya,
Halleluya, halleluya,
Halleluya, halleluya,
Hallelou