(1966 - S. Kaplan / Eddy Marnay)
Judith,
On n’oublie jamais,
Jamais
Judith,
Tu ne peux pas
Rayer du fond de ton cœur
Jamais
Le mal qu’on t’a fait là
Tout cet enfer gravé sur ta peau
En lettres noires
Qui brûle sans repos
Dans ta mémoire.
Judith
Tu vis contre un mur
De peine
Judith
Tant que la haine ne te quitte pas
Judith
On n’oublie jamais
C’est vrai
Judith
Mais on apprend, un jour
A tourner ses yeux
Plus loin
A regarder devant
Sous ta blessure, Le chagrin d’hier
Devient moins lourd
Quand tu touches la terre
Où vit l’amour
Là-bas
Il y a des soleils
Qui dansent
Judith
Et l’espérance
Au bout de tes pas.
Judith
Judith
Judith